Portrait de la jeune fille en feu


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Portrait de la jeune fille en feu


Lundi 23 septembre | 20h15 | Sauvenière

Avant-première suivie d'une rencontre avec Céline Sciamma, réalisatrice

Après Bande de filles, Céline Sciamma signe son premier film d'époque et nous offre une véritable leçon d'art sur le regard, le désir et l'émancipation féminine. Portrait de la jeune fille en feu est d'une beauté terrassante dans le fond comme dans la forme. Prix du scénario au festival de Cannes 2019

Pour son quatrième film, Céline Sciamma nous emporte dans une maison isolée au bord de la mer, en 1770. La jeune artiste Marianne (Noémie Merlant) est embauchée pour peindre la noble Héloïse (Adèle Haenel), promise à un mariage en Italie. Une histoire d'amour entre cette peintre et celle qui fut pendant quelques jours son modèle.

« Prenez le temps de me regarder », intime la professeure à ses élèves dès la toute première phrase du film.  La représentation s'impose comme un enjeu intime et social, en même temps qu'une terre à défricher. L'appel est net, clair et précis, en une poignée de mots qui sous-tendent de bout en bout ce Portrait de la jeune fille en feu.

« C'est d'abord à travers l'art et la représentation que Céline Sciamma situe la dimension politique de ce film. Elle nous fait comprendre que la question du regard est toujours sujette à interprétation et n'a que trop rarement été interrogée par les hommes qui l'ont utilisée pour regarder des femmes. » Marianne

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