Les classiques du Caméo - Monika - cycle Ingmar Bergman


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Monika


Lundi 16 septembre | 19h30 | Caméo

Projection précédée d'une présentation par Nicolas Bruyelle, animateur aux Grignoux

Dans le cadre du cycle Ingmar Bergman

L'oeuvre du cinéaste suédois est décidément inépuisable... Cinq ans après la rétrospective que nous lui avions consacrée, nous vous proposons quatre de ses films emblématiques ! Le cycle commence avec Monika (1953), dont la sensualité brute bouleversera le cinéma moderne. Suivront Le visage (1958), Cris et chuchotements (1972), et Sonate d'automne (1978), dans les prochaines programmations de classiques. L'occasion de (re)découvrir une création protéiforme qui touche autant à l'analyse psychologique qu'au lyrisme et à la métaphysique.


Monika

La jeune Monika travaille dans un magasin de Stockholm. Dans le taudis où elle vit, elle rêve du grand amour et d'une vie de star par la lecture de magazines. Un jour, elle rencontre dans un bar Harry, employé dans un magasin de verreries. En ce bel été, ils décident de passer la nuit dans un canot à moteur. Au petit matin, Harry décide de quitter son poste et part avec Monika pour l'une des nombreuses îles de la périphérie de Stockholm. Vivant presque d'amour et d'eau fraîche, ils mènent une existence insouciante, idyllique, mais qui finit par se dégrader  peu à peu...

Avec Monika, Bergman reprend les éléments du naturalisme (misère quotidienne, banalité du malheur, chape sociale inévitable) pour les tirer vers un ailleurs de la création : expressivité des paysages (le départ rayonnant sur les eaux de Stockholm, le retour grisâtre sous un ciel de plomb) et affirmation d'un désir, gauche et maladroite de la part du comédien, racée, gracieuse et entière de la part du metteur en scène qui filme amoureusement une muse clandestine.

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Monika




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