Classiques

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Vous permettre de (re)découvrir des films qui ont marqué l'histoire du cinéma ou de la société, qu'ils aient vingt, quarante, soixante ans ou plus ; vous replonger dans la magie des grands classiques, c'est aussi ça, la proposition culturelle des Grignoux !  A l'affiche en cette fin janvier, le film d'ouverture du cycle "Autour de mai 68" proposé par les Grignoux et l'ULiège, et au début du mois prochain, nous vous proposons un rendez-vous avec le pape de la comédie américaine rythmée, Howard Hawks himself.  Vous le verrez, ses ressorts comiques n'ont pas pris une ride !

Lundi 29 janvier à 20h au Churchill, projection unique : 
Le joli mai

précédée d'une présentation par Dick Tomasovic,
du service Arts du spectacle de l'ULiège


Paris, mai 1962, « le premier printemps de la paix ». Après le cessez-le-feu en Algérie, les parisiens font la fête, s'ennuient, rêvent, sont amoureux, cherchent un logement ou tout simplement le bonheur. C'est Le joli Mai de Chris Marker et Pierre Lhomme, un premier film qui descend dans la rue pour ouvrir le cycle de projections documentaires
« Autour de Mai 68 »
.  

Avec son prédécesseur, Chronique d'un été de Jean Rouch et Edgar Morin (1961), Le joli Mai est un des premiers documentaires français à descendre dans la rue pour donner du temps de parole aux passantes et aux passants. Prenant Paris sur le vif grâce à un matériel de tournage qui s'allège et s'assouplit au début des années 1960, le film veut dépasser une image figée et lourde d'une ville sursaturée d'histoire. Entre névrose des grands ensembles et carte postale du vieux Paris, Chris Marker et Pierre Lhomme interrogent tout simplement les Parisiens.  Les nombreux entretiens qui résultent de cette démarche révolutionnaire pour l'époque, croisent de multiples sujets hétéroclites : les problèmes de logement et l'invention d'un sous-marin de poche, la guerre d'Algérie et la place de la femme en politique, le record du monde de twist (72 h de déhanchement !) et les premiers soubresauts populaires provoqués par le drame de la station métro Charonne.

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Dans le cadre du cycle « Autour de Mai 68 », organisé avec le soutien de la Maison des Sciences de l'Homme de l'ULiège. Il se dédouble d'un cycle de cinq conférences sur Mai 68 organisé par la MSH à la Cité Miroir (http://www.msh.ulg.ac.be/)


Gagnez 10 X 2 places pour participer à cette projection en répondant à la question suivante :

Yves Montand, narrateur de ce documentaire, a également une riche carrière d'acteur.  Parmi tous ses films, lequel est votre préféré ?

Pour participer, cliquez sur "Répondre" à ce message, et répondez à la question posée ci-dessus. Les gagnants, tirés au sort, seront prévenus par mail vendredi 26 janvier.  


Gagnez 10 X 2 places pour participer à cette projection en répondant à la question suivante :

Un an avant La dame du vendredi, Hawks tournait une autre comédie avec Cary Grant.  Ce dernier s'y trouvait confronté à un bébé léopard.  Quel est le titre de ce film ?

Pour participer, cliquez sur "Répondre" à ce message, et répondez à la question posée ci-dessus. Les gagnants, tirés au sort, seront prévenus par mail vendredi 2 février.  

Lundi 5 février à 20h au Churchill, projection du film :

La dame du vendredi

précédée d'une présentation par Dick Tomasovic
du service Arts du spectacle de l'ULiège

Une journaliste hésite entre l'ambiance trépidante mais carnassière  de sa rédaction et la vie honnête d'une épouse modèle. Hawks au sommet  de son art du langage et du tempo trépidant.  


Hildy Johnson, jeune journaliste de métier souhaite quitter la profession pour mener une vie tranquille auprès de son fiancé. Elle décide d'annoncer la nouvelle à Walter Burns, le rédacteur en chef du journal qui l'emploie. Là où les choses se compliquent c'est que Burns est également… son mari ! Hildy décide donc de faire coup double en lui annonçant leur divorce. Mais le beau Walter Burns qui n'est plus à un coup bas près, va tout faire, quitte à user de la perfidie la plus basse, pour garder Hildy au sein de sa rédaction et l'empêcher de partir avec ce fiancé un peu trop sage…



"{Les héroïnes d'Howard Hawks} feront face au machisme des héros avec une classe, une intelligence et un humour résolument moderne. Après la sortie du film, de nombreuses féministes acclameront ce rôle et verront en Hawks un chantre de la condition féminine. Notons que le titre du film prend en compte l'opposition des sexes {au coeur du film} . Cependant la traduction française est désastreuse : His girl Friday, qui signifie littéralement "Son Vendredi fille" et fait allusion à l'esclave de Robinson (qui serait ici une femme) a été transformé en un insignifiant La dame du vendredi !"  DVDClassik

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À partir du 26 février, retrouvez au Churchill le film
Cette sacrée vérité de Leo McCarey

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