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Une analyse proposée par les Grignoux
et consacrée à
Synopsis
des rencontres autour de la littérature et du cinéma

Analyse au format pdfL'analyse en éducation permanente proposée ici porte sur SYNOPSIS, un projet réunissant des spectateurs des Grignoux (Caméo, Namur, Belgique) et des lecteurs de la Librairie Papyrus, autour d'une réfexion sur l'adaptation d'oeuvres littéraires au cinéma. Ces réflexions s'adressent notamment aux animateurs en éducation permanente qui souhaitent aborder la question des rapports entre littérature et cinéma avec un large public.

L'analyse est également disponible gratuitement au format pdf.

Comment élargir le public et développer son esprit critique en proposant une rencontre autour d'un même récit, raconté à la fois par un écrivain et un cinéaste?

La création des ateliers Synopsis est issue d'une réflexion menée avec un partenaire de longue date, la librairie Papyrus, le pendant local dans le secteur de l'édition des salles du Caméo à Namur. Les points communs entre Les Grignoux et Papyrus sont nombreux. On peut notamment citer:

  • L'importance de proposer une offre culturelle intéressante, complète, de qualité et alternative à ce qui est proposé dans les complexes commerciaux, qu'il s'agisse de salles de cinéma ou de grandes librairies franchisées : rencontres auteur/réalisateur, atelier, etc.
  • La présence d'un public fidèle et confiant. Que ce soit du côté du libraire ou de celui du cinéma indépendant, il y a forcément un public acquis au fil du temps et qui fait confiance aux propositions faites dans chaque lieu parce que celui-ci est reconnu comme opérateur culturel de qualité. Ce public peut jouer un rôle d'ambassadeur et de relai auprès d'autres spectateurs/lecteurs et ce afin de faire découvrir cette offre culturelle à un public qui est moins informé.
  • La nécessité de toujours élargir son public en proposant une activité qui peut s'adresser à tous : il est dans l'intérêt de n'importe quelle structure culturelle de développer l'esprit critique de son public potentiel pour que l'offre qu'elle propose trouve facilement un interlocuteur curieux et avide d'apprendre. Plus le public sera « éduqué » à la culture, à la critique, plus les possibilités d'ouvrir son horizon de connaissances seront multiples et diversifiées, et plus une structure culturelle sera à même de développer son offre, certaine de trouver un public friand de nouveautés.
  • Ouvrir le champ des possibilités : même si les personnes avides de littérature peuvent bien sûr aussi être cinéphiles, la démarche d'acheter et de lire un livre n'est pas la même que celle de se rendre dans une salle de cinéma. La première a en effet un côté « solitaire » et certains lecteurs assidus restent parfois timides quand il faut pousser la porte d'une salle de cinéma, activité qui a un aspect sans doute plus social. Beaucoup de gens n'aiment pas venir au cinéma parce qu'ils sont seuls. De même, des cinéphiles ne prendront peut-être pas la peine de découvrir une œuvre littéraire, parce « qu'ils l'ont vue au cinéma ». En poussant les lecteurs vers la salle, en proposant aux cinéphiles l'œuvre originale, on multiplie les pistes pour développer l'esprit critique.
  • La nécessité de lutter contre l'érosion du public : dans une conjoncture actuelle plutôt rude, il est essentiel de renouveler l'offre pour éviter les phénomènes d'érosion du public. On le voit dans les salles à orientation uniquement commerciale : la fréquentation chute dès que le contexte n'est plus favorable à une sortie au cinéma (météo estivale, concurence d'autres divertissements comme les événements sportifs internationaux, etc.). Il est donc essentiel de proposer régulièrement des activités supplémentaires qui vont étoffer et enrichir l'offre et attirer des spectateurs à des moments plus critiques en terme de fréquentation. Mais aussi attirer des personnes d'horizons mutliples qui peuvent trouver dans ces alternatives un nouvel accès à la culture. Le même phénomène existe dans le secteur de l'édition qui vit également au rythme des rentrées littéraires et autres fêtes de fin d'année (moments forts), et qui doit trouver des solutions pour maintenir le public aux moments plus creux. « Quand la période est calme, c'est l'ensemble de la chaîne du livre qui l'est également et il faut donc trouver des ressorts pour rester dynamiques et préparer les périodes fastes le mieux possible »[1].

Au delà de ces réalités communes, chaque année, les saisons cinématographique et littéraire se rejoignent à de multiples reprises : de nombreux films qui sortent sur les écrans ne sont pas basés sur un scénario original, mais proviennent de l'adaptation d'un livre, généralement d'un roman ou d'une nouvelle. Si on en croit une étude citée par Daniel Laroche[2] dans son analyse Du livre au film: « À lui seul, le site internet Babelio répertorie 3.205 films tirés d'un livre ! Dans une étude relative aux années 2005-2013, Nathalie Piakowski, directrice de la Société civile des Éditeurs de Langue française, recense 957 adaptations, ce qui permet au Figaro de conclure : « un film sur cinq est né d'un livre ».

Synopsis propose d'inviter les participants à découvrir, mais surtout à analyser et à critiquer de façon collective, une histoire traitée de deux façons différentes : à travers l'écriture d'un auteur et ensuite à travers la transposition qu'en fera un cinéaste sur le grand écran. Depuis la rentrée de septembre 2017, l'équipe animation du cinéma Caméo et celle de la librairie Papyrus sélectionnent une série de titres et proposent quatre rendez-vous.

Le but n'est pas initialement de comparer les deux récits mais de considérer le film et le livre comme deux objets culturels différents qui traitent d'une même histoire, chacun au travers d'un processus narratif qui lui est propre. On peut d'ailleurs même parfois émettre des doutes sur le terme adaptation. Ce dernier « est trompeur car un texte ne saurait, en toute rigueur, être "adapté" en film : ce dernier est forcément une œuvre sui generis où de nombreux éléments livresques ont forcément disparu, tandis que de nombreux éléments nouveaux sont apparus »[3].

Pour chaque duo livre/film, une rencontre est organisée entre les participants qui peuvent échanger et partager leurs réflexions. La discussion est animée par une journaliste, critique littéraire. Une animatrice du cinéma et une de la librairie sont aussi présentes.

Synopsis est une des nombreuses propositions pour répondre en partie aux problématiques soulevées plus haut. L'animation est ponctuelle et permet d'enrichir l'offre culturelle de la librairie et du cinéma avec un « plus » : à la lecture du livre et à la vision du film », vient s'ajouter un troisième épisode qui apporte une dimension sociale supplémentaire.

Par ailleurs, c'est aussi la possibilité d'élargir son public. Même s'il s'avère que nombre de cinéphiles apprécient aussi fortement la lecture, ce n'est pas forcément toujours le cas (voir plus bas).

Enfin, le statut d'opérateur culturel de confiance joue aussi beaucoup dans le succès de l'atelier (40 inscrits, en moyenne): cinéphiles et/ou lecteur·trices ou pas, il est certain que le fait d'avoir affaire à des professionnels reconnus dans leur secteur ajoute une dimension de sécurité à cette animation.

Cette confiance est importante car le procédé de programmation rencontre une certaine difficulté liée à l'agenda de sortie des films qui est par essence fluctuant et fixé à très court terme. Les participants s'inscrivent donc en début de saison pour les 4 découvertes/rencontres, sans connaitre le programme finalisé. Ils découvrent les titres au fur et à mesure de l'année. Une grosse majorité des participants explique avoir accepté de s'inscrire pour un projet « blanc » parce qu'ils font confiance aux choix de la librairie Papyrus et des Grignoux.

Le choix des titres se fait en concertation entre le cinéma et la librairie et tient compte de plusieurs critères :

  • La qualité de la réalisation et de l'écriture
  • La date de sortie du film : les participants doivent avoir le temps de venir voir le film et lire le livre, avant de participer à la rencontre
  • Le public cible : les participants sont des adultes, dont l'âge varie entre 18 et 70 ans
  • La disponibilité du livre en format poche (prix plus démocratique)
  • La diversité de l'offre, tant au niveau du fond que de la forme, du film et du livre

Dès le départ , l'atelier a attiré un public très diversifié : adolescent, jeunes adultes, retraités, enseignants, etc. Un point commun celà dit : il s'agit de lecteur·trice·s convaincu·e·s, mais qui ne sont pas forcément des cinéphiles au départ. Cela s'explique sans doute parce que c'est la librairie Papyrus qui procède aux inscriptions : la porte d'entrée de cet atelier se fait donc au départ auprès d'un public de lecteurs. Si certain·e·s de ces lecteurs·trices apprécient aussi beaucoup le cinéma, d'autres avouent qu'ils·elles sont avant-tout intéressé·e·s par la découverte de nouvelles pistes de lecture, mais que le fait d'associer à leur lecture sa transposition à l'écran est une véritable découverte.

Par ailleurs, pour Les Grignoux, cette façon de procéder à réellement amené de nouveaux spectateurs qui découvraient les salles, ainsi que la ligne éditoriale de la programmation, pour la première fois.

Il est important aussi de souligner que cette animation oblige les spectateurs qui y participent à « sortir de leur zone de confort ». Nombreux sont ceux qui avouent que le choix des films/livres n'aurait certainement pas été le leur. C'est parfois une révélation (« Je me suis réellement intéressée à la filmographie de Joachim Lafosse après avoir vu « Continuer »), parfois une déception. Mais tous avouent qu'il s'agit réellement d'une découverte. Par ailleurs le fait ne pas avoir forcément apprécié le film et/ou le livre n'empêche pas — bien au contraire — de partager ses impressions et surtout d'entendre les arguments des autres. « L'intérêt du projet, c'est aussi la surprise : on ne sait pas ce qu'on va devoir lire et voir et même si on n'aime pas toujours le titre proposé, c'est intéressant d'entendre l'avis des autres participants : on comprend parfois un peu mieux certains détails, les raisons qui nous ont fait détester ou aimer le livre. »

Outre l'intérêt d'élargir de de mélanger le public, il y a donc une vraie dimension « sociale » qui n'est pas à négliger. On l'a dit, ce sont des gens qui ont déjà des prédispositions pour la lecture et le cinéma mais beaucoup avouent qu'ils se sont inscrits pour être amenés à découvrir des oeuvres qu'ils n'auraient sans doute pas lues ou visionnées sans cette opportunité. « C'est intéressant de sortir se sa zone de confort; je ne lis habituellement que des thrillers. Ici je découvre d'autres choses ». La plupart adhèrent au projet essentiellement à cause de la rencontre qui suit la lecture et la vision du film parce que celle-ci génère un véritable lien qui s'additionne parfois à un lien familial existant. Par exemple, deux participantes sont soeurs, deux autres sont mère et fille. Elles avouent trouver une véritable complicité dans ces rencontres : « Nous lisons régulièrement les mêmes livres, ma fille et moi. Mais nous avons finalement très rarement l'occasion de nous assoir ensemble autour d'une table pour en discuter. Ces débats nous donnent vraiment l'occasion de faire une sortie mère-fille. »

Les réactions des participants parlent d'elles-mêmes. Elles montrent le réel intérêt de cet espace de paroles, certes culturel mais aussi créateur de liens :

  • « On peut voir un film seul, on peut lire un livre seul, mais ce qui est intéressant, c'est d'en débattre avec d'autres qui les ont vus/lus aussi ».
  • « Ce qui est intéressant, c'est de trouver les bons mots pour parler du rapport entre les mots et les images »
  • « L'intérêt de ces rencontres, c'est que chacun arrive avec des choses différentes. Le livre et le film ont de multiples facettes qui ne sont pas forcément perçues par tout le monde. Ici, on discute ensemble de choses qu'on a repérées séparément. »
  • « En lisant, en regardant un film, il y a parfois des choses qu'on ne sait pas exprimer. Mais quand on les entend, ça permet de mettre des mots sur des sensations. »
  • La perception qu'ont les autres permet aussi de comprendre ce qu'on a ressenti avec cette histoire.
  • « Je ne suis pas du tout cinéphile; j'accompagne mon mari et je découvre plein de choses avec lui. »
  • « J'apprécie extrêmement ces rencontres : on s'y sent accueilli et libre de donner son avis. Il y a un vrai partage. »

Le débat est construit autour d'une série de 4 ou 5 questions posées par l'animatrice qui aborde la structure du récit, l'auteur/le réalisateur, les personnages, etc. En fonction de la thématique de l'histoire, les discussions portent sur des sujets extrêmement différentes. Sur un récit comme Les frères Sisters (De Witt/Audiard), on part de l'analyse d'un récit de genre et de ses codes (ici le western) mais on soulève des questions qui vont des relations familiales, à l'études des mœurs d'une époque définie, en passant par la psychologie des personnages qui nous entraine sur des sujets aussi différents que la rédemption, l'apprentissage, la résilience.

La principale difficulté est de pouvoir trouver un programme riche et diversifié. Les adaptations de livres à l'écran ne manquent certes pas mais il est important de pouvoir proposer une offre qualitative et diversifiée. Cette attention à la qualité des titres proposés est primordiale. On peut proposer des genres différents (récits historiques, fantastiques, thrillers), des formats différents (nouvelles, documentaires, films d'animation), mais il est essentiel de s'assurer que le récit amènera des discussions nourries.

La mise sur pied d'un projet comme celui-là permet enfin de fidéliser un public autour de la programmation bien sûr mais certainement aussi à l'intérieur du groupe même. La brasserie du cinéma — où se déroulent les rencontres — devient un espace partagé, un lieu commun (au sens strict du terme) où ces spectateurs savent qu'ils peuvent se rencontrer très régulièrement, même en dehors des ateliers. Le fait d'avoir partagé une expérience commune permet ainsi de laisser une empreinte dans un lieu qu'on s'approprie comme étant rassembleur et accessible. En synthèse, au delà de la richesse de l'expérience, on peut citer, à l'attention des professionnels du secteur, une série de considérations, essentielles dans la mise en place de l'atelier Synopsis:

Ce genre d'animation fidélise les participants : on impose dès le départ un cycle de 4 rencontres et donc on crée une sorte d'obligation, un engagement. Et même si, en cours de route, une des rencontres leur a moins plu, ils vont jusqu'au bout du processus de découverte parce que le prochain rendez-vous leur apportera de nouvelles connaissances et donc de nouvelles réflexions à partager sur une nouvelle thématique.

Au fur et à mesure de l'expérience, on peut proposer des choses plus audacieuses, plus radicales; nous avons par exemple — faute d'adaptations intéressantes — proposé de confronter un film réalisé par un cinéaste palestinien Tel Aviv on fire de Sameh Zoabi et un recueil de nouvelles écrites par un auteur israélien (7 années de bonheur d'Etgat Keret). Les deux récits affichaient certaines similitudes dans leur forme, notamment par une auto-dérision et un humour parfois un peu désespéré. Ce qui a débouché sur un très long débat autour du conflit israélo-palestinien.

Une animation comme Synopsis permet au public de se réapproprier un espace au centre-ville, mais aussi un moment du quotidien (une soirée, en semaine).

Le côté découverte d'auteurs (de littérature, de films) procure un véritable plaisir aux participants. Si au début, on programme des « valeurs sûres », on se rend compte très vite que les participants aiment être un peu bousculés, découvrir de nouvelles choses. L'atelier est une porte d'entrée vers un élargissement de la culture générale, les discussions s'enrichissant de l'expérience de chaque participant.

Le cycle doit être consistant, sans être trop lourd à gérer. (4 rendez-vous par saison en tenant compte des périodes de vacances, de fêtes, etc.)

L'animation doit être préparée : si les participants s'emparent très vite du projet, ils aiment qu'on donne les premières pistes de réflexion en début de rencontre et qu'on balise le débat.

Annexes

Exemples de la programmation des deux premières saisons
  • Au revoir là-haut d'Albert Dupontel - Adaptation du roman éponyme de Pierre Lemaître (2013)
  • A Beautiful Day de Lynne Ramsay - Adaptation de la nouvelle You were never really here de Jonathan Ames (2013)
  • La Douleur d'Emmanuel Finkiel - Adaptation du roman éponyme de Marguerite Duras (1985)
  • My Lady de Richard Eyre & Sur la plage de Chesil de Dominic Cooke, deux adaptations des romans de Ian McEwan (L'intérêt de l'enfant - 2017 et Idem 2008)
  • Les Frères Sisters de Jacques Audiard - Adaptation du roman Les frères Sisters de Patrick Dewitt (2011)
  • Continuer de Joachim Lafosse - Adaptation du roman éponyme de Laurent Mauvignier (2016)
  • Duelles d'Olivier Masset-Depasse - Adaptation du roman de Barbara Abel (Derrière la haine, 2012)
  • Comparaison entre Tel Aviv on fire de Sameh Zoabi et 7 années de bonheur, recueil de nouvelles écrites par Etgar Keret (2013)
Quelques retours des participants à propos de la première saison
  • Esther: C'est à deux mains que je m'inscris, si cela est possible, à la deuxième saison de Synopsis! Le choix éclectique des livres, leur adaptation à l'écran et les rendez- vous au Caféo ont constitué un triple bonheur...
  • Si la lecture est un plaisir solitaire, encore autorisé heureusement — dans un monde entre Huxley et Orwell, où Big Brother et GAFA se donnent la main — et le cinéma une activitélibrement choisie et partagée (« Tiens, tu as vu le dernier film de...? »), la rencontre, le dialogue et l'échange libre autour de sujets qui interpellent restent pour moi le point d'orgue mais aussi source d'espoir: non, le virtuel n'a pas encore triomphé de la sensibilité, de l'empathie et de l'intelligence. Trois arts de vivre et de s'offrir du bonheur, du partage, du sens...
  • Geneviève: Ce que j'ai apprécié dans ce projet, c'est l'approche différente de la lecture: en effet, le fait de savoir que j'irais voir le film (chose que je ne faisais jamais de peur d'être déçue) me faisait lire d'une autre manière en fixant mon attention sur des détails qui me paraissaient difficiles à rendre au cinéma, surtout dans « Au revoir là-haut ». J'ai ainsi réalisé qu'il ne fallait pas attendre du film un rendu fidèle du livre. Ce sont deux expressions différentes d'un même thème et chacune a sa place et peut enrichir l'autre.
  • Michel: Mes sources de satisfaction sont nombreuses! La première tient à l'originalité de la formule et le succès qu'elle a remporté le confirme. L'autre source de satisfaction tient à la souplesse de l'organisation, malgré les difficultés que vous devez rencontrer en terme de programmation. Pour ma part, j'ai pu participer à chaque rencontre, lire chaque livre et visionner chaque film. Autre point de satisfaction: la diversité des genres et des « écritures » proposée. J'ai aussi apprécié le respect des opinions et critiques émises.

1. Nicolas Gary : « Temps forts de la vie des livres en librairie : comment vendre mieux », Interview mars 2017, www.actualitte.com

2. Daniel Laroche, Du livre au film (dossier Littérature & Cinéma), Les carnets et les instants 185, fév. mars 2015, Revues.be

3. Idem

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